rose-des-vents

École Rose-des-vents

Vancouver Ouest

L’École Rose-des-vents a été mise sur pied en 1997 comme une annexe à l’École élémentaire Anne-Hébert afin de diviser la zone de fréquentation de Vancouver en deux. À l’époque, 21 élèves y étaient inscrits. Plus de 15 ans plus tard, l’école compte environ 350 élèves.

À l’École Rose-des-vents, tous les membres de la communauté partagent une vision et une mission communes. Ensemble, nous encourageons et enrichissons ce qu’il y a de meilleur dans chaque individu en favorisant le respect de soi, d’autrui et de l’environnement.

Demande du CSF et de la Fédération des parents francophones :

Obtenir deux écoles de la maternelle à la 6e année, soit une à l’ouest de la rue Granville, ainsi qu’une entre les rues Granville et Main. Les espaces présentement occupés par l’école Rose-des-vents seront transformés en espace pour le secondaire (Jules-Verne).

Jugement rendu:

Les parents francophones habitant la moitié nord de la zone de fréquentation actuelle de l’École élémentaire Anne-Hébert ont droit de faire instruire leurs enfants en français à l’élémentaire, dans le secteur nord-est de Vancouver (et non seulement à l’École élémentaire Anne-Hébert). Selon la juge, lorsque le programme élémentaire aura été établi dans le nord-est de Vancouver et aura grandi (un programme qui devra probablement être établi dans des locaux loués pour environ 25 à 45 élèves), les parents du nord-est de Vancouver auront droit à une école homogène dans le nord-est de Vancouver pouvant accueillir environ 270 élèves avec des infrastructures véritablement équivalentes à celles de la majorité, ce qui n’est pas le cas en ce moment puisqu’il n’existe aucune école de langue française dans le nord-est de Vancouver.

Selon la juge, le programme à établir dans le secteur nord-est de Vancouver permettra de désengorger l’École élémentaire Anne-Hébert, ce qui aura pour effet d’améliorer la situation à l’École élémentaire Anne-Hébert.

Projet en cours

Le CSF a confirmé un terrain sur le site Heather lands grâce à des négociations fructueuses avec le groupe de premières nations et la SIC. Le CSF doit maintenant négocier les termes financiers de la location du terrain avec les mêmes intervenants. Le CSF est en recherche constante d’un second terrain dans la zone de fréquentation afin de combler les besoins à l’ouest de la rue Granville.