L’École des Sentiers-alpins de Nelson a vu le jour en septembre 2006 avec 8 élèves. Neuf ans plus tard, 86 élèves de la maternelle à la huitième année sont inscrits à l’École des Sentiers-Alpins.
Le début de l’année scolaire 2010 annonçait l’ouverture de nos nouveaux locaux dans l’ancienne école A.I. Collinson, située à neuf kilomètres sur la rive Nord de la ville de Nelson, soit de l’autre côté du fameux pont orange.
Obtenir une nouvelle école de la maternelle à la 12e année sur un site suffisamment grand afin de permettre la croissance des effectifs.
Les parents francophones de Nelson ont droit à une école homogène avec des infrastructures élémentaires véritablement équivalentes à celles de la majorité, ce qui est déjà le cas à Nelson, selon la juge Russell.
Les parents francophones de Nelson ont droit de faire instruire leurs enfants en français au niveau secondaire et d’avoir accès aux infrastructures de base pour offrir une éducation secondaire, toujours selon la juge.
La mise en œuvre de l’article 23 de la Charte à Nelson sera notamment appuyée par l’ordonnance obligeant le gouvernement provincial d’établir une enveloppe budgétaire distincte et à long terme afin de financer les projets d’immobilisations du CSF, par l’ordonnance obligeant le gouvernement provincial d’aider le CSF à acquérir des sites afin de répondre aux besoins du CSF et, comme le programme opère dans un espace loué, par l’ordonnance obligeant le gouvernement provincial à financer les coûts de location du CSF. La mise en œuvre de l’article 23 à Nelson pourrait aussi être améliorée par l’ordonnance de dommages-intérêts reliée au gel, pendant une décennie, du budget du CSF en lien avec le transport scolaire.
Le CSF et la Fédération des parents francophones souhaitent qu’en appel, en ce qui concerne Nelson, la Cour d’appel corrige les erreurs de droit de la juge Russell, énonce le bon droit, et écarte les conclusions de la juge.
Pas de nouveaux développements.